PROSES.
JE LUI AI DIT QUE TU M’AMENAIS LE SOLEIL, QUE QUAND TU RIAIS. JE FONDAIS, QUE GRÂCE A TOI, LA LUNE ET LE SOLEIL SE REJOIGNAIENT POUR NE FAIRE QU’UN, QUE LE PHENIX RENAISSAIT BIEN DE SES CENDRES, QUE L’INATTENDU N’ETAIT QUE PLAISIR, QUE L’ETOILE BIENVEILLANTE T’ECLAIRAIT AFIN QUE TU SOIS LUMIERE ETERNELLE ET RESPLENDISSANTE, QUE J’ETAIS PLUS QU’UN GAMIN, QUE LA POESIE DE TON IMAGE ET MOMENTS PASSES ENSEMBLE MAIS SI PEU, ME HANTAIENT ET M’INSPIRAIENT, QUE L’ATTENTE DU MOMENT QUI SERA TON CHOIX ME FAISAIT PEUR ET M’ANGOISSAIT, QUE CE MOMENT POURTANT ATTENDU ME FERAIT DISPARAÎTRE.
JE LUI AI DIT AUSSI MON RESSENTI QUE J’AVAIS OSE T’ECRIRE ? QUE JE LUI DISAIS TOUT CELA CAR MON CŒUR AVAIT BESOIN DE SE VIDER, A CAUSE DU TROP PLEIN, QUE J’AVAIS GARDE TOUT CELA EN MOI A EN DEVENIR DINGUE, QUE J’AVAIS BESOIN DE PARTAGER. JE LUI AI DIT AUSSI NOS ECHANGES ET MES EVENTUELLES CHANCES D’AVENIR, ET JE LUI AI REPARLE DE TOI..
QUE TU ETAIS POUR MOI UN LIVRE PRECIEUX, UNE EMERAUDE, UNE PIERRE D’AMBRE DIFFUSANT LES ONDES COSMIQUES, UNE COMETE ETERNELLE, UN ASTRE INVISIBLE A L’ŒIL NU MAIS QUE J’AVAIS PU VOIR, UNE FOLIE MAGIQUE, UNE PRIERE POUR L’HOMME, UNE DEESSE DE L’INCONNU, UNE HARMONIE DES ARTS, QUE TU ETAIS L’HOMME DE VITRUVE. TOUT CELA, J’AI DIT OU J’AI PENSE
